Working Group: The
role of text/books in the mathematics classroom
There is a North American
tradition of ‘leaning’ heavily on the textbook in mathematics classes -- for
the sequencing and introduction of topics, and provision of examples and
exercises. In some sense, the prescribed mathematics textbook is often taken to
be the curriculum. This is in
contrast to literature classes (which seldom have a single textbook), or art or
music classes (rarely using textbooks at all).
Textbooks are
changing though, and are already starting to look more like iPads than the
familiar dog-eared, graffitied, duct-taped bundles of paper. This leads us to
reconsider the nature and future of text/books in the mathematics classroom.
Who might write them, and who read them? How do textbooks address their
audience? How are they designed? What intended purposes do they serve, and what
are their unintended effects? How have, and how will textbooks change over
time?
In this working
group, we will consider text/books broadly, including linguistic, multisensory,
design and contextual aspects of texts. Our aim will be a deeper understanding
of the cultural phenomenon of mathematics textbooks, their history and future.
Topics will include:
• ways to undertake discourse analysis, textual analysis and
genre analysis of textbooks
• the agency and positioning of text/books: how the text reads
the reader as the reader reads the text
• archaeology and genealogy of textbooks: considering historical
textbooks (for example, Robert Recorde’s books, or a math textbook from
Franco’s Spain) and proto-textbooks (the Passover Haggadah and other ancient
works as teaching texts)
• sociocultural and political entailments of textbooks
• teacher- and student-made open source electronic textbooks
• experiential texts (for example, a school garden as
mathematics text)
Groupe de travail: Le
rôle des manuels scolaires dans la classe de mathématiques
Responsables: Susan
Gerofsky, Peter Appelbaum
Il ya une tradition
nord-américaine de «pencher» fortement sur le manuel scolaire dans les classes
de mathématiques – pour le séquencement et l'introduction de sujets, et la
fourniture d'exemples et exercices. Dans un certain sens, le manuel scolaire
prescrit en mathématiques est souvent considéré equivalent au curriculum-même.
Ceci est en contraste avec les classes de littérature (qui utilisent rarement un seul manuel), ou des cours
d'art ou de musique (utilisant rarement les manuels du tout).
Les manuels
changent cependant, et ont déjà commencé à ressembler davantage à iPads que les
familiers liasses de papier, écornés, couverts de graffitis et réparés avec du
ruban adhesive. Cela nous amène à reconsidérer la nature et l'avenir des
manuels scolaires à la classe de mathématiques. Qui doivent les écrire, et qui
les lire? Comment les
manuels s'adressent à leur lecteurs imaginés? Comment sont-ils conçus et désignés? Quelles sont leurs effets, intentionnels et non intentionnels? Comment ont les manuels déjà changés, et comment vont-ils changer au futur?
manuels s'adressent à leur lecteurs imaginés? Comment sont-ils conçus et désignés? Quelles sont leurs effets, intentionnels et non intentionnels? Comment ont les manuels déjà changés, et comment vont-ils changer au futur?
Dans ce groupe de
travail, nous allons examiner les manuels des divers points de vu, incluant
le linguistique, le multisensoriel,
la conception et les aspects contextuels de textes. Notre objectif sera de
mieux comprendre le phénomène culturel des manuels de mathématiques, leur
histoire et leur avenir. Les sujets abordés comprendront les suivants:
• les moyens
d'entreprendre l'analyse du discours, l'analyse textuelle et l'analyse du genre
des manuels scolaires
• l'agence et le positionnement
des manuels: la façon dont le texte se lit le lecteur en même temps que le
lecteur lit le texte
• l'archéologie et
la généalogie des manuels scolaires: les manuels scolaires historiques (par
exemple, de Robert Recorde, ou un manuel de mathématiques de l'Espagne de
Franco) et proto-manuels (la Haggadah de Pesach et autres viels œuvres vus
comme des textes d'enseignement)
• Les inférences
socioculturelles et politiques de manuels
• Enseignants et
élèves comme producteurs des manuels électroniques ‘open source’
• Les textes
expérientiel (par exemple, un jardin de l'école considéré comme texte
mathématique)
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